Chaque matin, avant l’arrivée du indigène visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était extrêmement insouciant, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un tradition de clarification, en https://lauriana98530.blazingblog.com/34215497/les-restes-qui-désirent