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Le train sans retour

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La gare était plongée dans une brume dense, un étoffe épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un pont indiquait minuit, l’heure juste du début du train. Le passager se tenait assuré, saisissant l'opportunité de suivre l’immense machine d’acier mélancolique qui sifflait https://simoncfdti.activablog.com/33054096/les-ombres-du-vexation

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