Tokyo, 2052. Les néons projetaient une clarté artificielle sur les rues silencieuses. Dans un milieu où la connaissance du lendemain était devenue une vision cartésienne maîtrisée, le futur n’était plus une inconnue pour certains. Grâce à des avancées en neurotechnologie, il était dès maintenant possible d’altérer la pressentiment des secondes, https://edgarcnxgy.bligblogging.com/profile